Dvořák, « Nouveau Monde »
Secret : comment, du concert, nous précipiter sur une scène d’opéra ? Confier à un maître éprouvé, par exemple le vieux et vif Haydn, un texte sur la perte de l’être cher ; et voilà, de pleurs en prières, de menaces en lamentations, sorti d’une plume ailée, naître l’air le plus pathétique de la fin du XVIIIe siècle. Mozart, tendre admirateur de son « papa Haydn », résonne en ouverture, puis Thomas Hengelbrock ravive une Symphonie « Du Nouveau Monde» à coup sûr grisante.
Concert également donné le 31/1 au théâtre Olympia d'Arcachon dans le cadre du Grand Tour de l’Orchestre National de France
Avec le soutien de Covéa Finance
Le programme
Les artistes
Radio France remercie ses spectateurs d'anticiper les contrôles de sécurité aux entrées en se présentant 45 minutes avant les concerts.