Le cycle viennois bâti par Daniele Gatti se referme avec Brahms, compositeur sans cesse remis sur le métier par le chef italien, qui en avait fait le marqueur de son premier cycle, lors de son arrivée à la tête du National en 2008. Le temps a passé, et cette maturation bénéficie toujours à des fresques telles que le Requiem allemand, œuvre sacrée mais non liturgique, que Johannes Brahms qualifiait de « requiem humain ». Deux voix, dont celle de l’exceptionnel diseur Michael Volle, se joignent aux troupes.

Coproduction Radio France / Théâtre des Champs-Élysées.
Concert chanté en allemand, surtitré en français et anglais.